« La nudité, sans visage, pour vous laisser à votre imagination, faire éclore, faire naitre un corps ou du moins une partie de celui-ci et pourquoi pas le corps entier me direz vous… Et pourquoi pas vous répondrai-je. Doit-on à tout prix dévoiler ses émotions, ses sentiments lorsqu’une oeuvre voit le jour ? Laissez-moi ce jardin secret. La contemplation n’est-elle pas alors encore plus agréable. Lorsqu’il y a eu visage, le corps était absent. Que peut-on en conclure ? Laissez-vous emporter par ces oeuvres et dites-vous que chacune d’elle a une place dans mon coeur. »